Spawning frequency, fecundity, egg size and ovarian histology in groups of maintained upon two distinct food ration sizes from first-feeding to sexual maturity
生殖力
性腺体指数
生物
动物科学
性成熟
鱼
繁殖
人口
生态学
渔业
社会学
人口学
作者
Kevin Coward,Niall Bromage
出处
期刊:Aquatic Living Resources [EDP Sciences] 日期:1999-01-01卷期号:12 (1): 11-22被引量:54
标识
DOI:10.1016/s0990-7440(99)80010-2
摘要
Duplicate groups of first-feeding (4-5-d-old) Tilapia zillii (Gervais) were maintained on two feeding regimes (high and low ration size) for a total period of 550 d (~ 17 months) in environmentally-controlled aquaria. Differences in mean individual fish weight were evident between fish fed the different ration sizes after just 3 months, though these differences were not statistically significant until day 180. Thereafter, fish maintained upon the higher ration were significantly larger than fish fed a reduced ration. Mortality in high ration fish over the course of the experiment was ~60 % compared to ~88 % in low ration fish. Mortality in both treatment groups was most pronounced during the first three months (particularly during the first 30 d) but was much reduced there-after. Spawning trials undertaken from day 450 onwards indicated that there was no significant difference between the two ration groups in terms of spawning periodicity over a discrete time period of 60 d. Mean total fecundity was significantly higher in fish on high rations though mean egg diameter and gonadosomatic index remained unchanged. Adjustment of spawning data to a common maternal fish size using one-factor ANCOVA failed to detect significant differences between the two ration levels in terms of either mean total fecundity or mean egg diameter. Stereological analysis of plastic-embedded ovarian tissue revealed that the ovaries of low ration fish possessed significantly more stage 2 and 3 (early and late perinucleolar) oocytes and significantly less stage 6/7 (late-vitellogenic/maturing) oocytes than the ovaries of fish fed the higher ration. No significant differences were detected between the two rations in terms of ovarian atresia. It is suggested that under prolonged food restriction, female T. zillii sacrifice somatic growth such that reproductive investment can be maintained. Deux groupes de Tilapia zillii (Gervais) au stade de 1re alimentation (âgés de 4–5 j) sont maintenus à deux régimes alimentaires différents (ration faible et forte) durant 550 j (~17 mois) en milieu contrôlé. Des différences entre les poids moyens individuels des deux groupes sont évidentes après juste trois mois d'élevage, bien qu'il n'y ait pas de différence statistiquement significative jusqu'au 180e jour. Par la suite, les poissons nourris de fortes rations alimentaires étaient de plus grande taille que ceux nourris avec des rations faibles. Sur toute la durée de l'expérience, la mortalité est plus faible (~60 %) chez les poissons nourris de fortes rations comparée à celle des autres poissons (~88 %). La mortalité est plus importante durant les trois premiers mois (les 30 premiers jours en particulier) quel que soit le traitement. Les essais de reproduction effectués à partir du 450e jour montrent qu'il n'y a pas de différence dans la périodicité des pontes sur une période de 60 j entre les deux groupes. La fécondité totale moyenne est significativement plus élevée chez les poissons nourris de fortes rations, bien que le diamètre des œufs et l'indice gonado-somatique restent inchangés. En termes de fécondité moyenne totale ou de diamètre des œufs, aucune différence n'a été observée (ANCOVA à un facteur) si les données de ponte sont ajustées à une femelle de même taille afin de comparer les deux groupes. L'analyse stéréologique du tissu ovarien révèle que les ovaires des poissons nourris de faibles rations possèdent significativement davantage d'ovocytes de stades 2 et 3 (stades périnucléaires) et moins de stades ovocytaires 6/7 (stades vitellogéniques tardifs/de maturation) que les poissons nourris de fortes rations alimentaires. Aucune différence n'a été notée en terme d'atrésie ovarienne entre les deux rations. Il est suggéré qu'avec une restriction alimentaire prolongée, les femelles de T. zilli sacrifient la croissance somatique de façon à maintenir l'investissement nécessaire à la reproduction.