分裂情感障碍
心理学
精神分裂症(面向对象编程)
精神分裂症谱
工作记忆
认知
认知训练
临床心理学
精神科
精神病
作者
Hyoun S. Kim,Briana D. Cassetta,David C. Hodgins,Lianne Tomfohr-Madsen
出处
期刊:The Canadian journal of addiction
[Ovid Technologies (Wolters Kluwer)]
日期:2021-03-01
卷期号:12 (1): 34-39
被引量:2
标识
DOI:10.1097/cxa.0000000000000102
摘要
ABSTRACT Background: Recent research has demonstrated elevated rates of problem gambling (PG) among persons with schizophrenia. This preliminary study examined the cognitive correlates associated with PG and schizophrenia spectrum disorders (schizophrenia and schizoaffective) and the efficacy of computerized working memory (WM) training on reducing PG severity. Methods: Participants with schizophrenia or schizoaffective disorders (N = 83) were administered WM tasks. Thereafter, participants were randomly assigned to: (1) WM training, (2) processing speed training (active control), or (3) no-training (passive control). Participants also completed the Problem Gambling Severity Index (PGSI) at baseline and at 10-week follow-up. Participants were categorized as endorsing PG if they scored 3+ on the PGSI. Results: Overall, 21 (25.3%) participants were classified as meeting threshold for PG. There were no significant differences between participants endorsing PG and those who did not on any cognitive task with small effect sizes. Of the 21 participants endorsing PG, 16 completed the follow-up measure of PGSI. Participants assigned to the WM group reported significant reductions in PGSI from baseline to follow-up with a large effect size. No significant reductions were found for processing speed or control conditions with large and small effects respectively. Conclusions: The current results do not support a baseline difference in WM between those who endorsed PG and those who did not. However, WM training may be effective for reducing problematic gambling among persons with PG and schizophrenia spectrum disorder. Contexte: Des recherches récentes ont démontré des taux élevés de problématique du jeu compulsif (PJC) chez les personnes atteintes de schizophrénie. Cette étude préliminaire a examiné les corrélats cognitifs associés à la PJC et aux troubles du spectre schizophrénique (schizophrénie et schizo-affectif) et l’efficacité de l’entraînement informatisé par le travail de la mémoire sur la réduction de la gravité de la PJC. Méthodes: Les participants souffrant de schizophrénie ou de troubles schizo-affectifs (N = 83) ont reçu des tâches de travail de la mémoire. Par la suite, les participants ont été assignés au hasard à: 1) la formation de travail de la mémoire, 2) la vitesse de traitement de la formation (contrôle actif), ou 3) sans formation (contrôle passif). Les participants ont également complété l’indice de gravité sur la problématique du jeu compulsif (IGPJC) au départ et au suivi de 10 semaines. Les participants ont été catégorisés comme adoptant une PJC s’ils ont obtenu 3+ sur le IGPJC. Résultats: Dans l’ensemble, 21 (25,3%) participants ont été classés comme atteignant le seuil de la PJC. Il n’y avait aucune différence significative entre les participants adoptant une PJC ou non sur les tâches cognitives avec des effets mineurs. Sur les 21 participants adoptant une PJC, 16 ont terminé la mesure de suivi de l’IGPJC. Les participants affectés au groupe de travail de mémoire ont signalé des réductions significatives de l’IGPJC entre le début du programme et la période de suivi avec un effet important. Aucune réduction significative n’a été trouvée pour la vitesse de traitement ou les conditions de contrôle avec des effets respectivement minimes et importants. Conclusions: Les résultats actuels ne soutiennent pas une base de référence dans la variation du travail de mémoire entre ceux qui adopte une PJC et ceux qui ne le font pas. Cependant, l’entraînement par le travail de la mémoire peut être efficace pour réduire la PJC chez les personnes atteintes de la PJC et de troubles du spectre schizophrénique.
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